Reconnaissance faciale

Des technologies de reconnaissance faciale pour sécuriser des sites à risques

Les technologies de reconnaissance faciale servent principalement les systèmes de contrôle biométrique dédiés à la sécurité. Elles sont plus rapides, moins invasives (peu ou pas d’interaction
avec le sujet) et traitent des données plus fiables que les autres systèmes d’analyse morphologique (empreintes digitales, reconnaissance de l’iris…) ou comportementale (analyse des déplacements, reconnaissance vocale…).

Les logiciels de reconnaissance faciale servent soit à l’authentification (certifier l’identité du sujet), soit à l’identification (reconnaître et identifier un sujet parmi d’autres) des personnes. Quelle que soit la nature de l’algorithme utilisé (reconnaissance 2D, eigenfaces, modélisation 3D…), l’application logicielle nécessite une base de données de visages enregistrés. La reconnaissance se déroule en trois étapes : détection de visage, analyse des caractéristiques de ce dernier (écartement des yeux, forme de la bouche ou du visage, orientation du nez…) puis comparaison avec la banque de modèles.

Le recours à la reconnaissance faciale répondant à des critères élevés de sécurité, notre société VS Sécurité entreprend une analyse de risques et vous propose les solutions logicielles adaptées à votre activité et à la sensibilité de votre site :

  • Authentification biométrique d’accès au site ou à des zones sécurisées : bureaux de la fonction publique, site industriel, Datacenter, salle de serveurs, coffre-fort…
  • Confirmation de l’identité et de la légitimité des utilisateurs et/ou opérateurs : déverrouillage d’ordinateur, accès à la gestion domotique ou immotique du site…
  • Renforcement de vos systèmes de reconnaissance faciale : amélioration du taux de reconnaissance, résistance aux attaques photo, vidéo ou avec masque…

reconnaissance faciale

Reconnaissance faciale et protection des libertés

Le recours à la reconnaissance faciale augmente pour des raisons de sécurité publique et pour la lutte contre le risque terroriste et la criminalité. L’identification biométrique, en particulier par
reconnaissance faciale, reste donc l’apanage des pouvoirs publics. Mais sa mise en œuvre pose la question du respect des libertés individuelles et de la protection des données.

En France, la CNIL n’autorise l’identification par reconnaissance faciale que pour les aéroports d’Orly et Roissy Charles de Gaulle, et en gare du Nord pour l’embarquement en Eurostar. Le RGPD encadre rigoureusement toute pratique liée aux données personnelles, le consentement clair et affirmé de leur exploitation ainsi que le droit à l’oubli. Il en résulte l’obligation de mener une AIPD (Analyse d’Impact sur la Protection des Données) dès lors que le traitement de données est susceptible d’engendrer un risque élevé.